16 décembre 2010
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Unis par l'insolence de nos mots, nous plongeons dans l'échancré de la nuit sombre.
Désunis par l'indolence de nos deux corps, nous tombons dans l'ouverture de nos ombres.
Entravés par nos sobres pensées, nous restons campés dans la dure réalité.
Libérés par nos rêves enfiévrés, nous grimpons dans les degrés de la volupté.
Laissons-nous aller à rêver.
Parce que c'est toi.
Parce que c'est moi,
Parce que c'est nous.